Saito Kazunori
Messages : 207Date d'inscription : 05/10/2011 Sujet: Saitou Kazunori Jeu 6 Oct - 0:21 When I was young... I wanted to be an astronaut o/ Saito Kazunori aka. Kazu'
Âge: 21 ans Date de naissance: 13 décembre Orientation: Homosexuel. Fine ! Groupe: Erreur. Mais je n'en suis pas une pour autant, baka. Maladie: J'étais très sain d'esprit et tout le monde croyait le contraire alors, pourquoi poser la question ? Métier: ... ... ... ... ... ... ¬.¬ On me l'a enlevé, ma job...
Descriptions ; Descriptions psychologiques et physiques
Commençons donc par l’apparence . En fait, si j’avais à dire trois mots pour me décrire, ce serait deux pieds, j’aune et beauté suprême - F*ck... Ça fait cinq mots, ça. Moi, je ne suis pas très grand. 1m72. Je suis dans la moyenne, dans le fond. Les cheveux noirs, pas trop longs, il sont majoritairement coiffés d’un aspect rebelle impeccable - qui donne plutôt un air décoiffé, en autres mots - ou placés en long dreads - avec des rallonges, hein, je suis pas capable de les faire pousser sur demande - lorsque l’envie me tient. Comme la plupart des asiatiques, j’ai les yeux bridées - j’ai deux yeux, tant mieux, deux oreilles c’est pareil, un nez... Ok, ok... Désolé... - un nez fin et des lèvres abordant, la plupart du temps, un sourire niais ou encore fendant. Finalement, percé plusieurs fois aux oreilles, j’ai décidé de ne pas m’arrêter là, me faisant percer aussi à la lèvre inférieure. Quoi de mieux pour embellir mon sourire rebelle ~ Si l’on descend plus bas, plusieurs personnes ne me prenaient pas au sérieux lorsque je leur avouait être tueur à gage - dans ce temps là. Normalement, un chasseur de prime à une certaine carrure pour pouvoir faire concurrence à n’importe quelle de leur primes. Pourtant, moi je suis mince - sauf peut-être de l’ampleur de ma tête et mes chevilles x)- certains disent que j’ai l’allure d’une perche, et dévoué de muscles, ou presque. En fait, j’ai de petits os, facilement cassables d’ailleurs, et une fine musculature, mais présente, ce qui fait que je suis aussi mince. Pour ce qui en est du style vestimentaire, il était évident que, en entrant ici, je ne porterais pas cette combine que les détenus - oups - “patients” - je voulais dire - déviraient porter. Fidel à mon style de Visual Kei, j’aborde des palettes plus foncées et tout un attirail d’accessoire venant compléter l’être étrange unique que je suis ~ D’ailleurs, sous les vêtements - oui, oui, faut me déshabiller pour voir ça ~~~ - un tatoo dragon tribal orne le bas de mon dos et un autre tribal simple s’est emparé du côté externe de ma cheville gauche récemment ~ Laissez moi vous avouer que mon caractère sort tout autant du commun que mon apparence. S’il y avait bien une chose pour laquelle on pourrait m’enfermer ici, ce serait pour une non-schizophrénie volontaire. Toujours en constante contradiction avec moi-même, je suis les deux extrême. Autant pouvons nous retrouver de moi une âme tortionnaire et sans pitié, autant je surprend de jours en jours à quel point je peut être humain, doux, câlinour et, surtout, protecteur. Oui, j’étais tueur à gage. Oui, on croit tous que les tueurs à gage sont des psychopathes insensibles qui ne savent que tuer mais pourtant, c’est faux. On généralise bien trop vite que toutes les prostiputes sont que des baiseuses compulsives et qu’elles font ça parce qu’elles aime le sexe. Pourtant, c’est totalement le contraire. Un tueur à gage, on pourrait voir ça comme ça. On ne voulait pas nécessairement faire ça au départ, mais c’est dur de s’en sortir par après. M’enfin, tout ça pour dire que, j’ai eu beau tuer des tas de gens... Si on retire ma bulle de tueur, on pourrait me classifier de bisounour de première classe. Au fond, je suis presque dépendant affectif. En plus, ma pire phobie - hormis les vieux St-Nitouche et les mononcle pervers o/ - est celle de me retrouver totalement seul. Pourtant, je suis un grand indépendant qui a apprit jeune à tout faire par moi-même, tout faire seul. J’ai appris à ne jamais parler de moi - que c’est beau, qu’est-ce que je suis en train de faire en ce moment, alors ? ... - et de mes problèmes, mais pourtant, je suis toujours là pour aider les autres. Un autre cliché qu’on donne aux chasseurs de prime, c’est celui qu’ils tirent tous la gueule. Heeeeerm... Encore une erreur. Pour ceux qui me connaissent bien savent que je suis le premier à aimer mettre l’ambiance. Toujours un sourire aux lèvres, une vraie machine à parole, certains me considère comme un vrai parasite qu’on n’arrive pas à se débarrasser sauf si on l’assomme et encore là, quand je reprend conscience, ça recommence. (: Au fond... Je suis peut-être un peu hyperactif non-hyperactif - du genre que c’est rien de maladif... Juste un surplus d’énergie, quoi... - qui n’a pas peur du ridicule, au fond... Alors, sincèrement, je conseille à tous ceux qui n’aiment pas les grandes gueules et qui aiment la paix... Aller voir ailleurs et, surtout, venez pas m’emmerder pour ce que je suis parce que, ça va mal tourner. Ouais, mal tourner... Parlons un peu de mes mauvais côté. J’ai beau être un parfait bisounour hyperactif et ultra protecteur envers ceux que j’aime... Je suis légèrement... Juste un tantinet... Violent. À vraie dire, je m’impatiente rapidement, et je suis du genre à faire boulette rapidement. Légèrement - ou beaucoup - gaffeur, soit je dis des choses que je ne veux pas dire et que, plus tard, je m’en veux d’avoir dit ça, soit j’en viens rapidement aux poings. À vraie dire, je suis plutôt impulsif. Genre... Vraiment ... MAIS ! Je reste le bisounour de l’hôpital, non ? ~
Histoire ; Parce que chaque personne a une histoire à raconter
« When I was Young, I wanted to be an Astronaut »
Vous savez, au Japon, la Yakuza est presque omniprésente. On croit pourtant que ces groupes de mafia ne sont là que pour égayer les films d’actions ou de suspense. Mais pourtant, dans certains quartiers de Tokyo, il faut faire attention qui fréquenter et faire attention à où qu’on traîne si on ne veut pas s’attirer des ennuis inutilement. Moi, je ne me suis jamais vraiment attiré des ennuis avec le clan Hideyoshi. En fait, autrefois, on me connaissait sous le nom Hideyoshi Kazuhito. Je suis né dans une famille plutôt difficile. La famille Hideyoshi est un clan assez réputé au Japon pour maintenir le plus grand réseau de travailleurs et travailleuses du sexe dans le quartier de la nuit de Tokyo, Roppongi. Dès ma jeunesse, j’ai été élevé dans la misère et les règles strictes, étant donné que mon père était à la tête de ce clan. Je fus élevé par les coups de bâton quand je ne faisais pas ce qui pouvait être exemplaire. Oui, exemplaire parce que, étant fils unique de cette famille, il fallait absolument que je ‘m’enligne sur le droit chemin’ parce que mon père voulait absolument que je le succède, voulant poursuivre la tradition Yakuza que le fils ainé de la famille succède à son père. Mais moi, je n’en avais rien à foutre, à cette époque là - et encore aujourd’hui, au fond. Vendre des Ranmaru - dites Geisha mais prostitués - ou des Host Boys... Ce n’était pas moi. Vendre l’intimité de quelqu’un, ça me dégoûtait. Mais ça, je n’avais pas le droit de le dire. Sinon, je passais pour martyr. Oui, passer pour martyr. Avec les années, la façon de mon père pour me renforcir physiquement, c’était de me battre. Il disait qu’il fallait que je sache résister à plus d’un coup avec toute la concurrence que j’allais avoir plus tard. Il disait que, dans le monde des Yakuza, les coups bas s’enchaînent un après l’autre et, s’ils peuvent se défaire du leader rapidement, ils le feront. Il disait que c’était pour ma survie qu’il faisait ça... Et après, imaginez vous comment il me préparait psychologiquement. Comment il m’endurcissait psychologiquement... À 14 ans, j’ai fait mon premier meurtre. Il restera à toujours gravé dans ma mémoire puisque ce fut le pire de tout ceux que j’ai fait. Ce fut le pire parce que, j’étais qu’un gamin à cette époque là. Et je n’avais pas encore réalisé à quel point, dans certaines situation, c’était leur vie ou la mienne. L'homme était là, aux pieds de mon père. Il suppliait. Personne n'aurait pu dire s'il était innocent. Des larmes coulaient le long de ses joues, le visage déformé par la douleur. On le frappait, encore et encore, avec de grosses bagues aux doigts, des semelles à clous. Puis ce fut des coups de barres d'acier. L'homme n'avait pas pu payer une somme pour je-ne-sais-quoi. Il crachait du sang à présent et avait du mal à parler, mâchant ses mots ; on lui avait donné plusieurs coups dans la bouche et la mâchoire. Le grand homme du clan avait prit soin de réunir ses hommes. Avec un sourire carnassier il considéra mon corps d'adolescent si petit, en disant d'une voix sombre, sévère ; "Tu vois fils, ce sera un de tes rôles plus tard. Quand il y aura une fuite, un faible, un infidèle, tu auras le devoir de le supprimer. Prends cette arme et tue-le. " Pourtant, ce n’était pas quelque chose que je voulais. Il me présentait cette arme à feu, et je la repoussais mentalement. Mais, ça ne servait à rien. Je savait pertinemment que plus longtemps je trainais sur tout ça, plus longtemps cet homme souffrirait. Et moi, si je refusais d’obéir, je savais tout aussi bien que je n’allais pas m’en tirer impeccable et que cet homme allait mourir d’une façon ou d’une autre. “Dépêches-toi, Kazuhito. Tu ne dois avoir aucune hésitation. Aucune émotion face à ces hommes qui ne méritent rien.” Puis, c’est comme s’il me mit littéralement l’arme entre les doigts. Je ne pouvais plus reculer. C’était si dégradant de faire faire ça à un gosse de quatorze ans. QUATORZE ANS, vous comprenez ?! Mais, je ne pouvais plus reculer. La suite, je me souviens juste d’avoir entendu cet homme me supplier de le laisser vivre, un coup de feu puis, plus rien. La suite, c’est pas compliqué. Avec les années, je suis devenu le tueur à gage professionnel du clan. Quand l’argent des Hideyoshi étaient à la baisse parce que les Ranmaru étaient moins populaire, on m’envoyait chasser quelques primes pour nous ramener de l’argent. Sinon, j’allais foutre le bordel dans les autres clans en m’infiltrant dans leur centrale. J’étais un vrai parasite, quoi. J’ai apprit rapidement les difficulté de la vie. J’ai tué, j’ai failli être tué. J’ai tabassé, j’ai failli être tabassé. Je n’ai pas violé, mais j’ai été violé. Dans ce monde parallèle qu’est celui des Yakuza, il n’y a aucune lois. La seule loi, c’est celle du plus fort. Avec les années, la police commença à me retracer lorsque je chassais la prime. Un tueur à gage n’est pas accepté par la loi. Bien sûr, c’était risqué pour eux de s’attaquer au fils unique du clan le plus fort de tout Tokyo et peut-être même tout le Japon, mais, ils prenaient le risque. Tellement que, un jour, mon père eut l’idée de me faire disparaître des yeux de la police pour me faire réapparaître plus tard quand les charges contre moi seraient abandonnées. Je n’avais pas encore comprit son plan mais... Il voulait vraiment me faire disparaître. Un jour, il me força à aller voir un spécialiste. Il disait que c’était pour mon bien. Pourtant, c’était lui qui était mieux d’aller consulter un psychiatre... Dérangé comme il était. N’empêche, j’y allai pour faire plaisir à mon paternel. Là-bas, je fus bien accueilli. C’était un hôpital en plein centre-ville. Au départ, je ne disais rien vraiment d’important à ce supposé spécialiste et tout allait bien. Par contre... Ça commença à dégénérer au bout de quarante cinq minutes de rencontre. Je le voyais griffonner sur son bloque note. J’étais intrigué par ce qu’il écrivait mais pourtant, il me le cachait. Puis, une heure après le début de la rencontre, il fini par dire: “Paranoïa démesurée.” “hein ?” “Mon pauvre Kazuhito, vous souffrez de Paranoïa démesurée. C’est pour ça que mon père vous a amené ici.” “Je vous demande pardon ? Il est bien plus paranoïaque que mo” “Ne racontez pas n’importe quoi. J’aimerais vous revoir demain que l’on parle un peu plus de tout ça. S’il se trouve, je trouverai d’autre maux. La paranoïa ne vient pas seule, normalement.” Je n’eus même pas le temps de dire quoi que ce soit de plus que le spécialiste me fit quitter ses locaux. Le lendemain, je m’apprêtais à me rendre à nouveau au local de ce fou qui insinuait n’importe quoi mais, alors que je sortais de notre quartier général que des gens m’attendaient. Ils me firent entrer dans le camion aux vitres fumés derrière lui, me disant que le psychiatre d’hier avait du changer de place de dernière minute et qu’ils m’emmenaient à son nouveau bureau. Étrangement, le trajet fut plutôt long. Trop long, même, à mon goût. Puis, lorsque je sortis finalement du camion, je réalisa qu’on n’était plus en ville. En fait, je me retrouvait devant une énorme bâtisse entouré d’une forêt. Rien de rassurant, quoi. Un homme sortit du bâtiment et m’avisa que c’était le psychiatre que j’avais vu hier qui m’avait référencer ici et que... J’étais interné et jugé comme potentiellement dangereux à cause de ma paranoïa. J’en tombais sur le cul. Je me retournai pour fixer ceux qui m’avaient amené ici. “Ok... C’est quoi la joke ? Ramenez moi donc en ville. Je ne resterai pas ici. J’ai autre chose à faire, quoi... “ Mais les hommes partirent aussitôt et me laissèrent seul avec ce supposé infirmier. Mais dans quel environnement de fou est-ce qu’on venait de m’abandonner ? M'abandonner ici en prétendant que je ne suis pas celui que je suis vraiment. Afin que la police ne me retrouve pas jusqu'ici, on changea mon nom. À présent, je ne suis plus Hideyoshi Kazuhito mais plutôt Saitou Kazunori...
Derrière l'écran ; Derrière chaque personnage, il y a un joueur
Pseudo: Certains m'appellent Ruki, d'autre Gazerock. et d'autre Hyunnie... À toi de choisir o/ Âge: 17 ans, toutes mes dents ~ ♥ Personnalité sur l'avatar: Aggy de Deluhi, sweety ~ Présence sur le forum: 7 jours de connexion mais difficile la semaine de poster. La semaine, on m'appelle Dieu et je prend congé le week end alors... comprenez pourquoi je suis aussi occupé, pauvres mortels o/ Où avez-vous connu le forum?: Dieu sait tout ! Nah mais, la fondatrice et la graphiste m'ont informé o/ Après, j'ai aussi mon ami fesse bouc qui m'a informé en retard ¬.¬
Dernière édition par Saito Kazunori le Ven 7 Oct - 0:32, édité 5 fois